BIOGRAPHIE

LOGO BAYARD-NIZET

 

Accueil 

 

Edition 

 

Catalogue 

 

Compositeurs 

 

Gravure 

 

MyPartitor

 

Polices
 


Oeuvres éditées 

Compositeurs 

Georges Antoine 

Jean-Pierre Armanet 

Paul Barras 

Tiziano Bedetti 

Michel Béro 

Jean-Louis Cadée 

Leonello Capodaglio 

Yves Carlin 

Dominique Charle 

Thierry Chleide 

Marcel Cominotto 

Roger Cornelis 

Mathieu Debaar 

Christian Debecq 

Firmin Decerf 

Paul Detiffe 

Berthe di Vito-Delvaux 

Georges Dubois 

Albert Dupuis 

Michel Fourgon 

Pierre Froidebise 

Maurice Guillaume 

André Jadot 

Mathieu Jodin 

André Klenes 

Lucien Lambotte 

Louis Lavoye 

Michel Leclerc 

Guillaume Lekeu 

Jean-Luc Lepage 

Alain Levecq 

Pierre Liémans 

Albert Lomba 

Guy-Philippe Luypaerts 

Anne Martin 

Raymond Micha 

Marian Mitea 

Onofrio Palumbo 

Désiré Pâque 

Jean-Dominique Pasquet 

Carlos Peron Cano 

René Potrat 

Henri Pousseur 

Jean Rogister 

Paul Rouault 

Paul Sana 

Pierre Schwickerath 

Edouard Senny 

Claude Siquiet 

Philippe Verkaeren 

Patrick Wilwerth 

Pirly Zurstrassen 

  Mathieu JODIN (Dison 1878 - Verviers 1960 )

MATHIEU JODINMathieu Jodin est né à Dison le 20 février 1878 et est décédé à Verviers le 16 janvier  1960. Très jeune, Mathieu Jodin montre déjà des dispositions pour la musique, pour la poésie et pour les sciences naturelles. En 1886, il entame ses études musicales à l'École de Musique de Verviers, où il travaille le violon, puis l'alto sur les conseils du directeur, Louis Kefer. Ses études sont récompensées par un premier prix d'alto et un second prix de basson en 1895. En 1898, il décrocha un 1er prix d'harmonie et traduisit en français le Traité de Contrepoint de Jadassohn, éditée par Breitkopf et Härtel. Mathieu Jodin fut diplomé de l'Ecole supérieure des Textiles de Verviers et sa carrière d'ingénieur aux établissements Peltzer ralentit à peine ses activités musicales. Il compose également de nombreuses œuvres dans des formes très variées, dont une production importante de musique religieuse. Mathieu Jodin dut renoncer à ses activités d'instrumentiste entre les deux guerres, suite à un accès de rhumatismes, mais gardera jusqu'à ses derniers jours une grande lucidité d'esprit, un enthousiasme et un désir d'apprendre, une pensée ferme et humaniste. Dans ses dernières années, il sera tenté par la musique dodécaphonique.

Philippe Bayard