BIOGRAPHIE

LOGO BAYARD-NIZET

 

Accueil 

 

Edition 

 

Catalogue 

 

Compositeurs 

 

Gravure 

 

MyPartitor

 

Polices
 


Oeuvres éditées 

Compositeurs 

Georges Antoine 

Jean-Pierre Armanet 

Paul Barras 

Tiziano Bedetti 

Michel Béro 

Jean-Louis Cadée 

Leonello Capodaglio 

Yves Carlin 

Dominique Charle 

Thierry Chleide 

Marcel Cominotto 

Roger Cornelis 

Mathieu Debaar 

Christian Debecq 

Firmin Decerf 

Paul Detiffe 

Berthe di Vito-Delvaux 

Georges Dubois 

Albert Dupuis 

Michel Fourgon 

Pierre Froidebise 

Maurice Guillaume 

André Jadot 

Mathieu Jodin 

André Klenes 

Lucien Lambotte 

Louis Lavoye 

Michel Leclerc 

Guillaume Lekeu 

Jean-Luc Lepage 

Alain Levecq 

Pierre Liémans 

Albert Lomba 

Guy-Philippe Luypaerts 

Anne Martin 

Raymond Micha 

Marian Mitea 

Onofrio Palumbo 

Désiré Pâque 

Jean-Dominique Pasquet 

Carlos Peron Cano 

René Potrat 

Henri Pousseur 

Jean Rogister 

Paul Rouault 

Paul Sana 

Pierre Schwickerath 

Edouard Senny 

Claude Siquiet 

Philippe Verkaeren 

Patrick Wilwerth 

Pirly Zurstrassen 


 Guy-Philippe LUYPAERTS (Wilrijk 1931 - Verviers 1999)

Guy-Philippe Luypaerts est né à Wilrijk (Province d’Anvers) le 3 mai 1931 et est mort à Verviers le 8 mai 1999. C’est au Conservatoire Royal de Bruxelles qu’il fait ses études, qui se révèlent brillantes : il en sort nanti de huit premiers prix (solfège, histoire de la musique, piano, musique de chambre, harmonie, harmonie pratique, contrepoint et fugue), ainsi que d’un diplôme supérieur de piano. Parmi ses professeurs, on trouve plusieurs célébrités de l’époque : Jean Absil, Francis de Bourguignon, Jean Louël, Marcel Maas, Marcel Quinet et Léon Stekke. Il commence sa carrière comme professeur de solfège et de piano dans différentes académies de musique de l’agglomération bruxelloise, tout en se produisant régulièrement en concert.

En 1961, Fernand Quinet l’engage comme pianiste soliste à l’Orchestre de Liège. Ce n’est que le début de son ancrage liégeois : en 1963, il devient professeur d’harmonie pratique au Conservatoire Royal de Liège, et en 1966, il succède à Hector Clockers comme directeur du Conservatoire communal de Verviers. S’il quitte l’orchestre en 1969, il conservera ses deux autres postes jusqu’à sa mise à la retraite en 1996. À Verviers, il devient vite un acteur de premier plan de la vie musicale, notamment comme chef de la chorale l’Emulation et de l’Orchestre de Chambre de la ville de Verviers, ainsi que comme président des concours Vieuxtemps et Deru.

Assew abondante, sa production consiste surtout en musique de chambre et en pièces pour piano. Son style très marqué par le jazz a fait beaucoup pour son succès. Plusieurs de ses compositions ont été imposées lors d’examens et de concours, comme Sensual Blues, Frénétika, Rythmes et couleurs et Capriccio (Piano), Contraste 2 (violoncelle et piano), Divertissement (alto et piano), Aurélia (clarinette et piano), Le balladin (flûte et piano) et Syncopes en liberté (trompette et piano). On lui doit aussi quelques pages orchestrales, comme Vive D'Jean D’Jean, fantaisie symphonique sur un thème populaire de Nivelles ou un Concerto pour saxophone soprano et orchestre de chambre, un ballet, Kaléidoscope, des mélodies et divers solfèges. Il a écrit aussi des arrangements pour sa fille Claudine (1960), chanteuse de variétés plus connue sous le pseudonyme de Maurane.

 

Thierry Levaux
(Dictionnaire des Compositeurs de Belgique du Moyen-Âge à nos jours)
Edition Art in Belgium, 2006

 

 

 

 





























 

Da Capo